COLLOQUE | 22 & 23 SEPTEMBRE 2023
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ATELIERS
Information : seul l’atelier n°6 est hybride (Visio et présentiel)
Tous les autres ateliers sont en présentiel.
Des Podcasts de ces ateliers seront mis à disposition après le colloque.
BITTOLO Christophe, Claudine VIVIER VACHERET, Giuseppe LO PICCOLO
Présentiel uniquement
« Atelier expérientiel : éprouver le colloque en groupe »
Co-animateur-trice : Christophe Bittolo, Giuseppe Lo Piccolo, Claudine Vivier-Vacheret
« Cet atelier propose un espace expérientiel de réflexion, d’échange et d’élaboration sur le colloque et la façon dont chacun(e) a pu vivre et entendre les différents exposés de la journée.
La parole circulera librement et de manière associative, en donnant une place particulière aux vécus et aux ressentis de chacune et chacun, considérant que cela fait partie du processus d’élaboration et de transformation. Ce qui se vit dans le groupe est aussi à penser comme une composante importante de la situation créée par le dispositif au sein du colloque. »
Philippe CASTRY | Mania VIDALAKI
Animateurs
Philippe DRWESKI, Blandine GUETTIER
Présentiel uniquement
Arménie 1989-2019 : traces du soin
Nous procéderons à un retour sur expérience 30 ans après une intervention psychologique humanitaire dans une zone détruite par un séisme et nous nous interrogerons sur les traces du soin à partir d’une clinique est individuelle et groupale. Je vous propose de nous plonger dans la clinique d’un groupe d’enfants organisé dans le cadre d’une mission humanitaire 10 mois après le tremblement de terre en Arménie en 1988. Je m’attacherai à souligner les effets du deuil et le travail de l’absence du côté des cliniciens comme du côté des enfants.
Philippe CASTRY, Psychologue (Centre Alfred Binet et EPS de Ville-Evrard), psychanalyste (SPP), membre formateur (Société de Thérapie Familiale Psychanalytique d’île de France).
Le silence du traumatisme
Travailler dans les organisations humanitaires, intervenir en situation d’urgence : la parole, la compréhension, la confiance, tout est en brouillard, tout est réduit, figé, parfois absent. C’est parfois le silence de la peur. A quel cout psychique traverse-t-on ce brouillard ?
Mania VIDALAKI, Clinical Psychologue clinicienne, psychothérapeute, Hospital Evangelismos (Athène), Medecins Sans Frontieres ONG.
Didier ROFFAT et Claudine JUPTNER | Lila MITSOPOULOU-SANTA
Animateurs
Catherine DAVID
Présentiel uniquement
Jouer sa peau dans une groupe d’enfants
Les psychothérapies de groupe avec des enfants autistes en instituions (IME) convoquent les co-thérapeutes du côté du fond archaïque (cf. les noyaux agglutinés, J.Bleger) et exposent à des vécus de symbiose. La destructivité, que nous aurons à définir dans ce contexte spécifique de soin psychique, est engagée par la situation de groupe, et entre en écho avec la pathologie des jeunes patients. Elle menace l’identité fragile des enfants, faisant trace sur le moi corporel et parfois sur la peau des participants. A la sensation que le groupe n’existe pas, le travail intertransférentiel oppose une longue et difficile élaboration, pour que les premiers linéaments d’une enveloppe groupale plus apaisée puissent émerger, et donner lieu à des premières esquisses de jeux groupaux. Au travers d’un exemple nous illustrerons comment ce travail de contenance, autorisera le passage d’une destructivité qui maintient une symbiose dévitalisante et des collages déshumanisants, à une première émergence de liens dans le groupe.
Didier ROFFAT, psychologue, psychothérapeute, Lyon, SFPPG, CIRPPA.
Claudine JUPTNER, psychologue clinicienne, psychothérapeute, Lyon, CIRPPA.
L’analyse de la pratique dans un service d’urgence pédiatrique. De la destructivité du lien à la co-construction d’un espace de parole
Dans les services d’urgences pédiatriques, les professionnels sont quotidiennement confrontés à la précarité sociale, aux liens pathologiques au sein de la famille, à la violence des institutions qui accueillent les bébés qui ne peuvent pas vivre chez ou avec leurs parents car ce lien est considéré toxique et dangereux pour leurs évolutions, à la mort et au deuil. Les professionnels sont confrontés à des pathologies de déliaison au moment notamment où ce lien doit se créer et se constituer. Il s’agit d’une pratique extrêmement complexe qui mobilise chaque professionnel dans sa propre histoire personnelle. Tous ces mouvements de déliaison se déplacent et contaminent l’espace psychique des groupes de professionnels. Les groupes d’analyse de la pratique proposent un espace de parole et d’élaboration qui est en mesure de contenir des éléments issus de la pratique mais aussi de les rendre figurables. Ce groupe permettrait de mettre en évidence les registres les plus « primaires » de la sensorialité et de l’affect et de mobiliser les processus de la symbolisation primaire afin de permettre au sujet du groupe de travailler sur son vécu personnel et de le rendre appropriable.
Lila MITSOPOULOU-SONTA, psychologue clinicienne, MCF en psychopathologie à Lyon 2, C.R.P.P.C, SFPPG.
Jean-Bernard CHAPELIER | Anne-Claire DOBRZYNSKI, Rémy RIAS
Animateurs
Aurèlie MAURIN
Présentiel uniquement
? « Violence et déstructivité des fantasmes et des associations libres »
Après une vingtaine d’années d’animation des groupes thérapeutiques avec des enfants à l’âge de la latence dans lesquels dominent le chahut et la co-excitation, contre toute attente ma surprise a été d’observer peu d’agitation et de motricité dans ces groupes de l’adolescence qui fonctionnent avec l’association libre alors même que l’agir est une des grandes préoccupations des spécialistes de cet âge, en faisant remarquer cependant que dans d’autres cadres, par exemple pour les groupes mis en place dans certaines institutions où l’abstinence ne peut pas être respectée, l’excitation et la violence peuvent envahir le groupe.
Ce lien entre l’activité fantasmatique intense et la réduction des agirs renvoie à S. Freud qui dès 1895 dans « l’Esquisse », propose deux voies de décharge des tensions internes : la voie courte par la décharge motrice et la voie longue qui passe par les représentations psychiques et l’activité fantasmatique. En 1908, il précisait déjà à propos de l’adolescent qu’en grandissant «au lieu de jouer (comme l’enfant), il s’adonne maintenant à sa fantaisie. »
En revanche donc les fantasmes sont nombreux et évoqués avec beaucoup de crudité et de violence. Ils ont principalement pour thème, la sexualité le corps et la destructivité. Nous ferons l’hypothèse théorico-clinique qu’il y a un lien entre ces deux positions
Nous prendrons différents exemples où les adolescents finissent par « Se taper un délire » selon leur expression.
Jean-Bernard CHAPELIER, psychologue clinicien, psychanalyste, psychodramatiste, Maître de conférences honoraire en psychologie clinique et pathologique (université de Poitiers), SFPPG, formateur à l’institut de formation et de recherche du CIRPPA.
Violence à l’adolescence et scènes psychiques interinstitutionnelles
Au cœur d’une scène interinstitutionnelle singulière et plurielle, chaque adolescent commettant des agirs violents expulse une détresse archaïque en lien avec une absence de répondant (Kaës) dans les liens primaires. À travers ce transfert par expulsion, se rejoue, sur cette scène groupale, le travail infantile de la destructivité (Winnicott), dont l’effet omniprésent est le clivage entre les institutions et les professionnels. L’enjeu est alors de résister groupalement, c’est-à-dire de ne pas laisser tomber ces adolescents, en souffrance de portage psychique. La perspective de cette communication, en appui sur des situations cliniques, est d’explorer les effets de la destructivité sur cet espace psychique groupal et les spécificités du travail de contenance interinstitutionnel.
Anne-Claire DOBRZYNSKI, Psychologue clinicienne, analyste de groupe, maîtresse de conférences associée au CRPPC, Université Lyon 2, SFPPG.
Rémy RIAS, psychologue clinicien, Lyon.
Patrick DESSEZ, Sonia BENZEMMA et Françoise PAYEN | Almudena SANAHUJA et Alexandra VIDAL-BERNARD
Animateurs
Rosa JAITIN, Henri-Pierre BASS
Présentiel uniquement
L’organisation psychique familiale meurtrielle
L’apparition des violences conjugales et familiales concerne les conjoint(es) ou les enfants. Elles sont précédées ou accompagnées de la mise en place d’organisations psychiques familiales qui mobilisent les fantasmes de violence et de meurtre et elles instituent le passage par l’acte comme modalité de communication. Le discours annule tout langage associatif au profit d’un langage d’action. La relation institue un rapport inégalitaire. L’éveil de ces fantasmes de meurtre dans la famille se réfère à des transmissions intrafamiliales, à des événements qui concernent la mort accidentelle d’un membre de la famille ou à la perversion d’un des membres de la famille.
Ces organisations familiales seront étudiées et discutées à travers les récits d’expertises psychologiques et de thérapies familiales.
Sonia BENZEMMA, Psychologue clinicienne, docteure en psychologie, expert près la Cour d’Appel de Lyon, enseignante vacataire UCLY Lyon et Université Lyon 2
Patrick DESSEZ, Psychologue clinicien, expert près la Cour d’Appel de Lyon enseignant vacataire UCLY, AFCCC Lyon, SFPPG.
Françoise PAYEN, Analyste de couple, AFCCC Lyon, SFPPG.
Violences conjugales, “a-rêverie groupale”et activation de la “fonction toxique institutionnelle”
Dans le cadre de cette présentation, nous mettrons en évidence un mécanisme de destructivité au sein d’une institution prenant en charge des femmes traumatisées, victimes de violence conjugale. Nous montrerons à partir de nos observations cliniques, comment la violence reçue de la part de leur compagnon mais également transmise au niveau transgénérationnel, s’infiltre dans les liens qui animent les membres de l’équipe et impacte la contenance, générant un dysfonctionnement au sein du groupe. L’équipe se retrouve psychiquement « en miroir » de la population accueillie dans une homologie dysfonctionnelle (Pinel, 2008). A l’image de la problématique de ces couples, l’équipe souffre d’un manque de contenance, de liens toxiques « mortifères » et « d’a-rêverie” (en référence à la notion “d’a-rêverie couplale”, Sanahuja, Bernard, Naimi, 2020). A partir de ces constats, nous partons de l’hypothèse que ce processus de déliaison, serait dû à l’activation de la “fonction toxique” (en référence au Moi-peau de Didier Anzieu) qui se rejouerait dans leur transfert et entraverait la capacité de rêverie et de symbolisation des professionnels, générant alors le recours à l’agir. Face à ce phénomène de destructivité du groupe, nous présenterons les résultats d’une proposition d’expérimentation auprès de cette équipe, d’un outil d’évaluation de la contenance nouvellement créé, dénommé “l’institution merveilleuse”, pouvant favoriser un travail de transformation et de restauration de l’enveloppe psychique.
Mots clefs: Agirs institutionnels, Enveloppe psychique, Fonction toxique, “a-rêverie groupale”, outil d’évaluation “institution merveilleuse”
SANAHUJA Almudena, Professeur de psychologie clinique et psychopathologie, laboratoire de psychologie (EA 3188), psychothérapeute familial et psychologue clinicienne, SFPPG.
VIDAL-BERNARD Alexandra, Maître de conférences, laboratoire de psychologie (EA 3188), psychothérapeute familial et psychologue clinicienne, SFPPG.
Carla PENNA, Carmen O’ LEARY, Rachel ABRAMOVICZ | CASTANHO Pablo
Animateur
Pierre BENGHOZI, Edith LECOURT
Hybride : Visio et présentiel
From Destructiveness to Dialogue: exploring unconscious processes in Groups
From the 1940s onwards, the German-British psychoanalyst S.H. Foulkes conceived group analysis as a new epistemology for individual-society relations. Combining psychoanalysis and sociology and prioritizing the social nature of persons, Foulkes enabled – through the concept of matrix – the exploration of intersubjective and trans-subjective perspectives to the understanding of human suffering in connection to the social world. This paper explores through classic and contemporary group analysis, how group-analytic professionals address destructiveness, hatred, regression and progression in persons, groups and social systems. With this aim, the paper introduces work in large groups which provides an in-depth understanding of primitive processes and psychotic mechanisms that take place in interpersonal and transpersonal interaction in groups, as envisaged by the pioneer Patrick de Maré, ongoing large-group work in humanization of society and the development of a state of impersonal fellowship – Koinonia. Under a more contemporary lens – and in association with large-group work and the concept of tripartite matrix – this paper also presents Earl Hopper’s Incohesion: Aggregation/Massification Theory and the role traumatic experiences have in the unconscious life of groups. Hopper’s theory is fundamental to understanding extreme dimensions of personal and social suffering in connection to expressions of destructiveness, repetition compulsion and “trauma syndrome” in current times.
Key words: group analytic theory, large-group work, Incohesion theory, destructiveness, dialogue.
De la destructivité au dialogue : exploration des processus inconscients dans les groupes
Résumé
A partir des années 1940, le psychanalyste germano-britannique S.H. Foulkes a conçu l’analyse de groupe comme une nouvelle épistémologie des relations individu-société. En combinant la psychanalyse et la sociologie et en donnant la priorité à la nature sociale des personnes, Foulkes a permis – à travers le concept de matrice – l’exploration de perspectives intersubjectives et trans-subjectives pour la compréhension de la souffrance humaine en lien avec le monde social. Cette communication explore, à travers l’analyse de groupe classique et contemporaine, comment les professionnels de l’analyse de groupe abordent la destructivité, la haine, la régression et la progression des personnes, des groupes et des systèmes sociaux. Dans ce but, la communication présente le travail en grands groupes qui permet de comprendre en profondeur les processus primitifs et les mécanismes psychotiques qui ont lieu dans l’interaction interpersonnelle et transpersonnelle dans les groupes, comme l’envisageait le pionnier Patrick de Maré, le travail continu en grands groupes dans l’humanisation de la société et le développement d’un état de fraternité impersonnelle – Koinonia. Sous un angle plus contemporain – et en association avec le travail en grand groupe et le concept de matrice tripartite – ce document présente également l’Incohesion d’Earl Hopper : Aggregation/ Massification Theory et le rôle des expériences traumatiques dans la vie inconsciente des groupes. La théorie de Hopper est fondamentale pour comprendre les dimensions extrêmes de la souffrance personnelle et sociale en relation avec les expressions de la destructivité, de la compulsion de répétition et du « syndrome du trauma » à l’époque actuelle.
Mots-clés : théorie analytique des groupes, travail en grand groupe, théorie de l’Incohésion, destructivité, dialogue.
Carla PENNA, PhD, psychanalyste, analyste de groupe (Brésil) membre de la Group Analytic Society International, ancienne présidente de l’Association brésilienne de psychothérapie de groupe et de la Société de psychothérapie analytique de groupe de l’État de Rio de Janeiro. Coéditrice du Journal Cadernos de Psicanálise au Brésil, elle a publié en 2013 en portugais le livre Inconsciente Social [Inconscient social] et en 2022 « From Crowd Psychology to Dynamics of Large Groups : Historical, Theoretical and Practical Considerations » (Routledge).
Carmen O’LEARY, Analyste de groupe, membre de l’Institute of Group Analysis (Londres), de la Group Analytic Society International. Psychothérapeute adulte consultante retraitée du National Health Service britannique, actuellement en pratique privée, superviseur et enseignante.
Rachel ABRAMOVICZ, Psychologue clinique senior, analyste de groupe, membre de l’Institut israélien d’analyse de groupe, membre de la Group Analytic Society International
Criminalité en banlieue : réflexion sur les écueils de la Kulturarbeit au Brésil à partir d’une expérience professionnelle
Auparavant, j´ai travaillé à temps plein, dans un « centre pour la convivialité et coopération » (CECCO), un service de la ville de São Paulo qui est né du contexte de notre réforme psychiatrique. Le CECCO propose de rassembler des patients issus des internements psychiatriques avec la population générale autour d’activités communes en groupe, telles que le football, la musique, l´artisanat etc. Ce service a été placé dans un parc public à côté d´un district qui, quelques ans auparavant, avait été déclaré l’endroit le plus dangereux au monde par la ONU à cause de la violence diffuse qui existait. Je vous présenterai des vignettes de cette période pour dégager quelques représentations et processus psychiques partagés dans ce contexte et liés à la violence. Je fais l’hypothèse finalement qu’ils dérivent des écueils de la Kulturarbeit au Brésil, notamment de la précarité du contract narcissique originaire dont l´horreur repose sur le fait de ne pas rassurer suffisamment une partie de la population de son appartenance au genre humaine.
Pablo CASTANHO, professeur de psychologie clinique, université de São Paulo (usp), co-responsable du réseau Groupe et intersubjectivité (CRPPC, Lyon)
Séminaire doctoral
Samedi 14H30 -17H00
Animé par Lila Mitsopoulou – Sonta (Lyon 2), Philippe Dwreski (Paris Cité), Aurélie Maurin (Sorbonne Paris Nord), Christophe Bittolo (Paris Cité), Magali Ravit (Lyon2).
Journée doctorale sur la recherche groupale inter-université avec des doctorants et des enseignants
Ce séminaire a pour but de promouvoir et développer la recherche clinique psychanalytique sur les groupes. La réflexion se déploiera à partir de plusieurs exposés présentés par des doctorants. Ce séminaire est ouvert aux participants du colloque ainsi qu’aux étudiants et universitaires concernés.
Adresse : 18 quai Claude Bernard/ 2 rue de l’Université, Université Lumière-Lyon 2, Amphi Fugier, bâtiment Athéna (Tram T1 à proximité)
> Voir le plan
Possibilité de déjeuner avant vers 13h30 au restaurant le St Laurent (à vos frais), dans ce cas merci de prévenir Didier Roffat (roffat.didier@wanadoo.fr)
Programme Atelier doctorants
- 14h30 : Laurence Pessinet, Psychologue clinicienne, Doctorante en Psychologie Clinique à l’Université Lumière Lyon2
Titre : « Groupe et destructivité : affaire de génocide »
- 15h00 : Damien André , Psychologue clinicien, Doctorant en Psychologie Clinique à l’Université Lumière Lyon2
Titre : Les « permanences » sont-elles indestructibles ? Topologies, vertiges, « ilinx », magma et controverses comme vecteurs pour penser les formes psychiques circulant dans les formes primitives de dispositifs groupaux.
- 15h30 : Carla Arantes de Souza, Psychologue clinicienne, Doctorante en Psychologie Clinique à l’Université de Sao Paolo -Lyon2
Titre : « Le groupe et le trauma dans la Maison de Justice : quelques impasses dans le travail de Justice Restaurative »
- 16h00 : Victoria Caillet, Psychologue clinicienne, Doctorante en Psychologie Clinique à l’université d’Aix-Marseille
Titre : « Le changement de rôles et l’exploration des différents pôles d’un scénario de jeu en psychodrame psychanalytique de groupe auprès de patients schizophrènes : Entre destructivité, élaboration et création ».
- 16h30 : Jacques Tyrol, Psychologue clinicien, Doctorant en Psychologie Clinique à l’Université d’Angers
Titre : « Auprès de mon arbre » : un dispositif groupal, généalogique, restaurateur